• - Notre semaine à Lamotte… les pieds dans la boue !

    Cette année, c’était ma troisième participation à Lamotte mais la première fois que j’y étais engagée en CCE avec Rafale (l’an passé, nous avions fait toutes les deux un CSO en Poney 3). Cette année, je participais à la Poney 1D Minimes et moins. C’était la première fois aussi que nous allions rester à 100% sur le site.

     

    Nous sommes partis samedi matin vers 10h avec quatre véhicules : le camion de Mélanie, avec des affaires, qui tirait Rafale et Saturne ; la C4 de maman qui emmenait Nooz et Wieroch ; le vieux Toyota 4x4 camping-car de papy et mamy avec une remorque remplie de paille et de foin et la Volvo de Fabienne, avec son van, qui servait de remorque pour emmener beaucoup de bazar. On est arrivé sur le parc équestre vers 16h. On a commencé par déposer les chevaux à leurs boxes, les boxes rouges en dur qui nous ont été attribués grâce à Wieroch (les organisateurs doivent éviter de mettre trop d’étalons dans les petits boxes en toile qu’ils pourraient défoncer). Nos quatre boxes étaient super grands, sur des plates-formes en béton, ils y seraient nickels toute la semaine. On a déchargé la remorque de foin pour mettre les ballots dans un van et le laisser sur place pour que ce soit pratique pour pailler tous les jours.

     


     

    On s’est rendu ensuite au campement du côté bleu. Nos deux parcelles étaient dans l’herbe mais c’était déjà un peu gadouilleux, surtout au niveau des allées mais, en traversant la parcelle d’en face, tous nos véhicules pouvaient encore passer. On a monté tout le camp : le barnum, la tente de Fabienne (une tente de 8 places pour eux trois, ils allaient avoir de la place !), notre « petite tente » pour Laurène et moi, et installé notre « cuisine » dans un van comme l’année dernière. Papa et maman dormiraient dans le Toy et Mélanie et Alex dans leur camion. Pendant ce temps, maman et Fabienne sont parties faire les courses.

     

    On a sorti les vélos car pour aller aux boxes, sur les pistes ou aux douches, ce serait quand même plus rapide. On était tranquille pendant quelques jours car je ne débutais mon épreuve, par le dress, que le mardi après-midi. Le lendemain, Mélanie a commencé par nous faire visiter le site avec les chevaux en main pour que Maël et Maxence commencent à s’y retrouver et que les poneys se mettent dans le bain. Nous sommes partis avec les garçons et Laurène. Mélanie a pris Wieroch et, comme d’habitude, beaucoup de personnes ont trouvé le poons « trop mignon » !   On a compté une bonne vingtaine de commentaires élogieux !! 

    L’après-midi, on les a montés. On les a emmenés dans la nouvelle carrière derrière le Beuvron (jusqu’à l’an passé, c’était encore une belle prairie). Là, elle est en sable, c’était assez profond. C’est là qu’il y aura le CSO pour les complets et le dress de Laurène sur la 20x40. Mais rien n’était monté encore. Avec Raffiti, on a travaillé les arrêts (trot, arrêt, trot, arrêt). Laurène est repartie ensuite pour monter Wieroch alors qu’avec les garçons, nous sommes retournés au camp. Fabienne avait décidé de ramener sa voiture et son van vers le chemin en dur car sinon, elle ne pourrait plus la prendre. Le tracteur passe souvent sur le « chemin » de notre camp pour tirer des véhicules plantés et plus personne ne peut passer. D’ailleurs la volvo n’a pas pu rejoindre le dur toute seule… Papa a aussi tenté de tirer le van avec le Toy mais il s’est embourbé dans les ornières et on a dû faire appel au tracteur. Pour nous aider, le chauffeur nous demande de signer une décharge comme quoi si notre voiture est abimée, ils ne sont pas responsables et on ne peut pas les attaquer. C’est quand même un peu fort !  C’est eux qui nous mettent dans la boue quand même !!  Et c’est pas donné les parcelles de camping à Lamotte !  On a ramené le van de Fabienne aux boxes rouges pour qu’il serve de sellerie. Le soir, on a joué aux cartes et Mélanie nous a appris le jeu du « trou du’c ». On est devenu complètement fan de ce jeu-là !! 


     

    Le lundi matin, on a traîné un peu. Mélanie a voulu nous emmener dans la forêt du haut pour une balade comme on en faisait l’an passé. Mélanie et Alex voulaient suivre à vélo mais il y avait vraiment trop de boue, ils ont beaucoup galéré et elle a dit que c’était la première et la dernière fois qu’on y irait cette année !  On s’est arrêté à un moment : Rafale et Nooz se faisaient beaucoup de bisous et de câlins et on a décidé de les marier officiellement !  A tour de rôle, il y avait un poney qui devait prendre la tête mais Nooz a pété un câble, il ne voulait pas être derrière. On l’a donc laissé devant…  On a traversé le Beuvron à gué mais on n’est pas allé marcher dedans car cela fatigue les papattes.

    L’après-midi, on est allé faire du dressage, Laurène et moi, sur une des pistes qui était libre, c’était la carrière d’honneur !  Rafale était plutôt calme mais elle se contractait assez rapidement quand même. Wieroch faisait toujours son petit effet !  Ensuite, Laurène et Maël sont allés s’entraîner en saut avec Nooz et Saturne.


     Ensuite, j’avais rendez-vous vers 18h pour la réunion CCE. Il y a le président de notre jury qui parle et après, on nous donne notre plan du cross pour faire une première reco. C’était juste pour voir les obstacles à sauter car il y avait beaucoup de monde, j’y retournerai demain plus longuement avec Mélanie.

     

     

    Il y avait quelques difficultés particulières dont un directionnel en dévers et en haut d’une butte ; la première minute, on a dit qu’elle était à l’ « arbre à lunettes » ; un double de verticaux à sauter de biais en deux foulées ; le petit bonhomme en bois ; une petite maison en haut d’une butte ; le gué avec un saut en sortie – c’était une combinaison car le suivant était un tronc avec réception retour dans le gué, un saut dans l’eau en gros qui pouvait faire peur ; pour finir, l’œil de la fédé, une haie avec un abord difficile et un dernier obstacle de volée. Le temps idéal, c’était 2.37 - 2.53.

     


    Le lendemain matin, fallait qu’on se lève plus tôt car mon dressage commençait mardi et on était… mardi !  Il fallait faire les soins du cheval !!  Mélanie m’a proposé de la pionter mais elle s’est énervée après mes élastiques car on n’avait pas retrouvé les neufs qu’on venait d’acheter, je n’avais que ma boîte d’élastiques de récup…  Ils cassaient facilement et Mélanie était extrêmement contente !  Heureusement que Maël nous a prêté les siens. Elle a fait aussi la natte de queue. Pendant ce temps, je terminais les soins. Après manger, pour terminer de la préparer, Mélanie lui a fait un petit pion sur le toupet !!  Elle ressemblait à une petite Chinoise !  La veille, j’avais nettoyé et graissé toutes mes affaires. Elle était prête et toute belle. Ensuite, Mélanie m’a brossé les cheveux pour mettre ma petite résille.

     

    On s’en va tranquillement vers la carrière de dressage. J’avais mes belles lunettes marron. A la détente, Rafale était un peu shamallow. Elle n’a pas duré trop longtemps : 30mn. Rafale était cool, sympa.

     

    Il y avait Guy et Isabelle qui sont venus pour me voir passer. Ils m’ont appelée. Mélanie m’avait dit d’aborder à main droite, sauf que je suis partie à main gauche !  J’étais pas terrible. Je suis allée me présenter au jury principal avec un grand sourire. Après au deuxième jury qui était en E. Ils me sonnent et me présentent : « Louise Maillard avec son grand sourire ! ».

     

      

     

    J’étais donc pas terrible pour l’entrée, j’ai tenté une petite volte avant pour la décontracter.

    Je commence mon doublé. Rafiti était droite mais le juge ne me regardait pas. Au moment où le juge a regardé, Rafiti a commencé à faire des zig-zags, j’étais contente !  Rafiti, tu arrêtes, sois mignonne !!

     

     

    Pour le demi-cercle, j’ai essayé d’être bien mise pour que ce soit joli à voir. Pour l’allongement, Rafale a fait ce qu’elle a pu, c’était bof.

     

     

    Transition au pas, j’ai fait tout doucement donc c’était bien. Et pour l’arrêt, elle s’est arrêtée !! Même que Isa a dit à Mélanie « hé, maintenant, elle tient l’arrêt ! »  Et tout d’un coup, pam, elle a bougé !  Deuxième allongement, mieux que le premier. Transition au pas, un peu en retard. Pour le pas rênes longues, elle a un peu trottiné, elle marchait un peu rapide mais elle marchait quand même.

     

     

    Quand j’ai repris les rênes, elle a commencé à se durcir« ah, j’vais y aller, j’vais y aller ! »  Elle trottinait un tout petit peu. Du coup, elle a pris le trot un peu en tapant, pour le galop, c’était bien. Le premier cercle, je l’ai pas très bien dessiné, par contre, j’ai très bien fait le coin à suivre.

     

     

    Pour la transition au trot, j’ai dû lui mettre un petit pli pour qu’elle le prenne gentiment. Au moment où j’ai pris mon galop à gauche, j’ai entendu « 6 ».Bon d’accord. Passage en C « 6 »…  Et bien.

     

     

    Je fais mon coin. Le dernier demi-cercle, bof et pour la transition, elle était juste un peu décalée à droite. Je salue et le juge en C me fait un signe de la main pour me dire merci.

     


    C’était une reprise plutôt bien pour ce qu’elle sait faire. On était assez content. Même si je savais que je ne serai pas extrêmement bien notée.

     

    J’ai dénatté la jument, préparé mes affaires pour le lendemain, pour le cross. Le soir, on est retourné faire la reco du cross. En y passant plus de temps. Et puis, on a eu les notes. Mélanie m’a annoncé : « Louise, tu es… 3e en partant de la fin ! » J’avais 41.75, c’était pas terrible, j’étais 35e sur 38, la première était en 22.25. C’est normal qu’ils saquent, ce sont les meilleurs à Lamotte. Mais les notes étaient quand même serrées, si bien que je pouvais espérer remonter sur le cross. Le moindre refus d’un concurrent et celui-ci passerait derrière moi, à condition qu’on soit en sans-faute bien sûr ! 

     


    Le lendemain, mon cross était dans la matinée. On se rend sur place, on passe le Beuvron pour entrer dans la pré-détente.

     

    Mélanie avait mis la gourmette du pelham au bon angle. A l’entrée, de la détente, tout le matériel a été vérifié. Dans la pré-détente, j’ai fait du pas et du trot en attendant de pouvoir sauter.

     

     

    Dès qu’on entre dans la détente et qu’on commence à galoper, Rafiti se met à se réveiller, à faire la folle. Mélanie me dit « viens me voir » et elle a resserré la gourmette… Elle était toujours au taquet. Quand on a commencé à enchaîner les obstacles, elle était plus calme. Je finis en la faisant marcher, en attendant qu’on m’appelle.

     


    Je me mets dans la boîte de départ et on me dit « quand vous voulez ». Rafale part au petit galop, pépère. Elle saute le 1 gentiment et se réveille un peu après. Je l’ai laissée un peu avancer.

     

     

    Mais j’ai vu que la courbe arrivait vite, je l’ai resserrée un peu fort pour qu’elle revienne. La petite montée, elle a rien regardé, elle a sauté direct. Pour le directionnel en dévers, j’ai juste remis un tout petit peu les jambes et cadrée un peu à gauche, elle saute tranquille alors que c’était plutôt compliqué. La première minute a sonné au niveau de l’arbre à lunettes, donc j’étais plutôt bien. La haie du 4. Pour le double du 5, Mélanie m’avait dit en deux foulées. Rafifi, elle m’attaque ça, elle fait une foulée dedans !  Bon Rafifi, si ça te plaît.

     

     

    Je galope vers le bonhomme sauf que je me trompe de passage et je fais un coup de guidon à gauche. Je reprends la bonne piste. Rafifi n’a même pas regardé le bonhomme. Elle a accéléré donc j’ai dû la reprendre un peu. Je commence à me rapprocher du 7, la petite maison sur la butte. A côté, il y avait une voiture avec un juge et Rafale s’est amusée à la regarder, du coup, elle a pas bien vu l’obstacle et elle l’a touché avec ses antérieurs.

    Je l’ai grondée : « c’est bon Rafale, tu te concentres ». Après, on est rentré dans le gué, ça l’a motivée. Elle me tape un gros saut sur le A. Comme j’étais un peu en avance à la deuxième minute, j’ai bien ouvert la courbe pour retourner sur le B et je suis passée sur une zone gadouilleuse, Rafale s’est un peu tôlée à l’avant.

     

     

    Je lui ai relevé la tête, du coup, on était au petit galop pour aller sur le B. Elle saute, se retrouve dans le gué, et patatam, et patatam, tranquille. On part dans la forêt, aucune inquiétude. Elle saute le trou. Et on part sur l’œil de la fédé.

     

     

    Après, fallait faire un bel angle droit après le pont, pour aller sur la haie. Rafifi, elle voulait pas. Du coup, j’ai fait une espèce de zigouigoui pour sauter le 11, on est arrivé de biais. Elle a bien sauté quand même. Formalité pour le 12, et patatam, et patatam. Petit galop pépère pour passer la ligne d’arrivée, on était en 2.51, super !  Juste 2s avant le temps idéal. Bravo ma fifille ! 

     



     

    Mais le cross a quand même fait des dégâts alors qu’il n’était pas si compliqué que ça, il y a eu 8 éliminés. J’ai remonté 14 places !!! Maman et Fabienne avaient tout pointé donc on le savait tout de suite après.  Je me suis retrouvé 21, c’était déjà mieux ! 

     

    J’ai préparé mes affaires pour le saut du lendemain. Mélanie a décidé de mettre les bandes de repos et à la fin, elle m’a dit :  « Je comprends pourquoi tu lui fais des après-skis, elle ne fait que bouger, bouger, bouger ! ».

     


     

    L’après-midi, c’était à Maël et Saturne d’entrer en piste. J’ai pris la caméra de Claire pour pouvoir filmer son tour. Le premier jour, il s’est bien débrouillé pour sa première participation, juste une petite barre. En plus, y a la propriétaire de Saturne qui est venue le voir avec sa petite famille.

     

     

    Dans l'après-midi, Laurène avait monté Wieroch et se disait fatiguée pour sortir Nooz. Du coup, Mélanie m’a proposé de le prendre en dressage. Mon bébé Nono, ça ne se refuse pas, je ne le monte plus si souvent. Je ne me rappelais pas qu’il était aussi inconfortable que ça ! 

     


    Le lendemain, fallait que je me prépare assez tôt pour mon saut. Vu que je passais 9e sur 36, j’étais dans les premières (on passe en sens inverse du classement provisoire), fallait que je sois prête avant la reco. J’ai regardé un peu les parcours d’avant (c’était le même tour pour les 1D cadets, je crois).

     

    Rien de spécial à dire sur le parcours, on avait une ligne mais sans contrat de foulées, quelques soubassements voyants, un parcours facile à mémoriser avec beaucoup de lignes à suivre. Rafifi était cool à la détente jusqu’à ce qu’on commence à sauter. Sur les oxers, elle me tapait des longues, 2 ou 3m avant. Mélanie voulait que je la rapproche mais c’était un peu difficile car il fallait aussi s’intercaler entre les autres concurrents. Elle m’avait mis un petit chouille plus haut que mon parcours, ça allait.

     

     

    Ensuite, on m’a appelée pour être la prochaine à partir. Rafifi était toute contente d’entrer sur la carrière !   « Trop bien ! Sauter les obstacles ! »  Le jury m’avait présentée avant, je leur ai fait un salut et demandé si je pouvais y aller. « Maintenant, faut galoper, faut sauter les obstacles ! Chouette ! »  Non, Rafifi, tu démarres gentiment au trot et tu m’écoutes ! 

    Après le 1, elle était au taquet. Sur le 2, elle s’est beaucoup rapprochée de l’obstacle. Ensuite, elle n’a pas voulu se rapprocher de la barrière, elle voulait tourner trop court. Le 3, du coup, elle l’a sauté un peu de biais. Le 5, elle l’a pris dans le pied et le 6, elle est partie 3m avant !  Vole sur l’oxer !  On a terminé sans-faute, très contente !  Elle a fait des big-longues sur les oxers alors qu’il aurait mieux fallu les faire sur les verticaux et réciproquement. Elle a pas encore tout compris Rafale !  Mais elle a bien sauté quand même ma juju !  

    On a regardé la fin de l’épreuve. Avec les fautes de ceux qui passaient après moi, j’ai gagné 3 places. Ensuite, ceux qui faisaient une ou deux barres restaient devant moi au provisoire. Mais la 5e s’est trompée dans son parcours, elle n’a pas sauté les deux obstacles de la ligne, elle a oublié le 7 (ça doit être le stress car le 7, on pouvait pas le louper, il était en face du 6). Eliminée !   Du coup, je gagne encore une place. Et je pensais donc finir 16e.

     

    De retour aux boxes, je fais les soins à ma jument et je me suis posée la question de savoir si je devais la bander ou non. Je pensais qu’elle n’avait pas fait un trop gros effort dans la journée mais je voulais demander à Mélanie. Mais, après, j’ai complètement zappé… L’après-midi, on a regardé Maël sur son tour. A la détente, ils ne se sont pas compris avec une cavalière et les deux se sont rentrés dedans. Sur le tour, il a fait un refus sur le second du double (que Saturne a défoncé) et il a dû attendre que l’obstacle soit remis en place. Plus une autre barre, cela lui faisait 8 points plus un peu de temps dépassé. Il s’en est quand même bien tiré.

     

     

     

    Et le soir, Mélanie me dit :  «  Ben Loulou, ta jument, tu l’as pas bandée… »? « Ben, je savais pas si… »  « Et quand tu sais pas, tu demandes pas ? »… « Ta jument, elle a quand même fait trois jours de concours, tu peux quand même lui mettre les bandes ».  « Oui, oui »…   Ensuite, on a eu les résultats : je termine bien 16e sur 37 partants. Pas mécontente du tout, on a fait ce qu’on a pu : un « bon » dressage pour nous et un double sans-faute par la suite, que demander de mieux ? Je n’avais pas du tout d’objectifs cette année de toute façon. Voilà, les épreuves de Lamotte étaient terminées pour moi mais il y avait encore trois jours de compétition avec les épreuves de ma sœur (que vous pourrez découvrir sur son blog).

     

    Après le dressage de Laurène, le vendredi, j’ai monté Rafifi sur la piste de galop : un tour au trot à chaque main, un tour au galop. Et Rafale devait rester calme. Ce qui a été le cas jusqu’à ce que d’autres cavaliers partent au grand galop à côté de moi. « On fait la course, on fait la course ? »  J’ai dû un peu me fâcher…  Ce jour-là, les Leloir sont partis du campement et il a plu plu plu toute la journée. On a rentré la tente de Fabienne.


     

    Le lendemain soir, on n’a pas pu dormir dans notre tente, tellement le campement était détrempé. Il y avait 10cm d’eau autour de l’Igloo et des flaques d’eau sur le tapis de sol. Du coup, on s’est serré à 4 dans le Toyota, c’était plus sûr.

     


     

    Et pour le dernier soir, on a carrément déménagé notre campement aux boxes rouges. Le 4x4 a pu sortir les remorques et les vans et même le camion de Mélanie…  avec son treuil !   On a mis le Toyota et le Trafic sur le bitume, les pieds au sec, pour être tranquille pour pouvoir repartir le lendemain après la dernière épreuve de ma sœur. Et on a pu manger dans… le boxe de Saturne avec Claire, Corinne, Céline et Laura qui étaient venues voir le cross de Laurène avec Nooz et son second passage avec Wieroch.

     


     

    On est donc reparti juste après le saut de Laurène et de Nooz, tristes de quitter Lamotte mais heureux quand même de rentrer après cette semaine… boueuse !  C’est quand même pas ça qui nous arrêtera pour l’an prochain !  Mais dans quelle épreuve je m’engagerai en 2013, ça, c’est pas encore décidé !

     


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